Ahmad : «Le pays hôte sera connu le 9 janvier»

Après le retrait de l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations au Cameroun, la CAF a ouvert à nouveau la voie des candidatures, la période prendra fin le 14 de ce mois mais le nom de l’heureux élu ne sera connu que le 9 janvier prochain.

En effet, dans une interview exclusive accordée par le président de la CAF Ahmad Ahmad à l’AFP, le Malgache a évoqué les differentes dates arrêtées par son instance. Ainsi, et après la date butoir du 14 décembre, Ahmad et son comité exécutif se chargeront d’étudier les dossiers et épurer la liste, cela interviendra dans 2 semaines soit 10 jours après la fin du délai des dépôts : «Tout sera finalisé le 25 décembre pour faire sortir une “short list” de candidats avec leur évaluation et des notations claires. Le comité exécutif va se réunir le 9 janvier à Dakar, où nous donnerons la décision, ça sera au lendemain de la cérémonie des CAF Awards», a expliqué Ahmad Ahmad.

« 2 ou 3 pays dont l’Afsud ont demandé le cahier des charges»

Ahmad qui n’a rien d’officiel pour le moment, étant donné qu’il n’a reçu aucun dossier sur son bureau, donne des informations importantes sur l’identité des pays intéressés par l’organisation : « D’après mes informations, il y a deux ou trois lettres d’intentions qui sont arrivées», a répondu le président de la CAF. Qui n’a pas voulu donner de noms même celui du Maroc qui fait office de favori pour l’organisation de ce tournoi inédit, étant donné que c’est le premier qui verra la participation de 24 teams : « Le Maroc ? Je ne sais pas, mais l’Afrique du Sud a envoyé une lettre d’intention. Il y a deux ou trois pays qui ont demandé le cahier des charges », a-t-il ajouté.

« Le Congo-Brazzaville, un problème interne »

En ce qui concerne le Congo-Brazzaville, annoncé comme candidat par l’un des vice-présidents de la CAF Constant Omari vendredi avant un démenti du ministre congolais des sports dimanche, Ahmad Ahmad n’a pas voulu confirmer ou infirmer. « Je ne vais pas parler des problèmes internes d’un pays. C’est un problème congolais interne. Voyez plutôt du côté de la fédération et du gouvernement », a-t-il déclaré.

« Avec le Cameroun on s’est mis d’accord pour 2021 »

Alors que le Cameroun avait pensé à un boycott de la CAN, voire à aller jusqu’au TAS pour récupérer sa CAN, finalement, les choses se sont arrangées entre la CAF et le Cameroun, la déclaration d’Ahmad dans laquelle il a menacé le Cameroun implicitement si jamais il saisissait le TAS a eu son effet, le gouvernement de Paul Biya a finalement validé la décision de l’organisation en 2021 : « J'ai la lettre, je communique avec la présidence de la République (du Cameroun). On est d'accord pour 2021, cela ne nous arrange pas (d'avoir retiré 2019 au Cameroun): si vous voyiez les investissements qui ont été faits ! Le Cameroun est une grande nation de football, et si la jeunesse bénéficie de ce genre d'installations (en 2021), le foot africain va être tiré vers le haut », a-t-il ajouté.

« Côte d’Ivoire 2023 ? On attend leur réponse»

La Côte d'Ivoire va aussi devoir donner une réponse, et pour cause : la CAF leur a attribué la CAN 2023, alors qu’initialement, ils devaient organiser celle de 2021, Ahmad et son instance attendent toujours une réponse pour 2023 : « Nous avons fait la même démarche (qu'avec le Cameroun), nous avons envoyé la lettre. Lundi ou mardi, il y aura une réunion entre le Premier ministre et les gens qui s'occupent de l'organisation de la CAN, donc on va voir », a expliqué le Malgache. Et d’enchaîner : « Ils ne seront jamais prêts pour 2021 », a-t-il encore martelé, avant d’ajouter : «Ils peuvent faire de la rénovation mais les cinq stades manquants, ils ne peuvent pas les construire. Et les hôtels quatre étoiles ? Il y a des endroits où il n'y a même pas des hôtels trois étoiles. Pareil pour les routes, les aéroports, les hôpitaux... », explique-t-il.

  1. M. A.

 

Hayatou leur avait «offert» l’organisation pour 2023

« La Guinée n’a pas demandé l’organisation de la CAN 2023 »

La Guinée risque de perdre sa CAN, c’est en tout cas c’est ce que laisse entendre le président Ahmad à travers son interview avec l’AFP. La Guinée, désignée à l'origine pour 2023 mais dont le dossier "n'existe pas", selon l'un des vice-présidents de l'instance africaine, va-t-elle recevoir de fait l'organisation de la CAN-2025 ? Ahmad  laisse entendre que cela ne sera pas évident : « Ils ont demandé la CAN-2019 et 2021, mais ils n'ont pas demandé la CAN-2023. Personne ne l'a demandée et la CAF n'a pas ouvert la candidature pour la CAN-2023 », a expliqué Ahmad qui enchaîne : « Théoriquement, c'est pour la Guinée. Mais est-ce que la Guinée va le faire ? Ils ne l'ont pas demandé », a-t-il conclu. Rappelons que le président Ahmad reproche à son prédécesseur d’avoir offert sur un plateau la CAN 2023 aux Guinéens, plus précisément au président Alpha Condé qui serait un ami du frère aîné de Hayatou, un cadeau que le Malgache voudrait lui retirer, sachant qu’il a été attribué sans le moindre dossier comme il le précise bien à travers ses propos, affaire à suivre…

S.M.A

 

 

L’OM passe à l’action pour Bounedjah

Les chiffres de Bounedjah en 2018 ne pouvaient pas laisser les clubs européens indifférents et c’est l’OM qui semble le plus intéressé par les services du boleadoras algérien. En effet, selon France Football, le club phocéen peu content du rendement de Valère Germain et Kostas Mitroglou, va attaquer le prochain mercato hivernal avec l’intention de recruter un tueur. Ces dernières heures, plusieurs noms ont filtré dont ceux de Michy Batshuayi ou encore de Wissam Ben Yedder, mais la piste la plus sérieuse, annonce France foot, pourrait bien être celle de Baghdad Bounedjah. Auteur de 28 buts en 14 matchs cette saison à Al-Sadd, Baghdad a gagné des points et la direction marseillaise est passée à l’action de manière très concrète dans ce dossier. « Selon nos informations, les dirigeants marseillais, alertés par son profil, se pencheraient déjà sur le dossier. Pour l'attirer, un transfert sec de 5 millions d'euros serait nécessaire mais un prêt serait également possible... avec une option d'achat obligatoire », explique le magazine français. Marseille pense pouvoir réussir  un gros coup en attirant l’Algérien du côté du Vieux Port, surtout que le joueur a toujours affirmé qu’il ne quittera le Qatar que si une offre européenne lui parvenait,  en attendant ce qui se décidera après les négociations.

  1. M. A.

 

 

 

 

 

 

-L’offre de la JSK était supérieure

-Le joueur risque d’être prêté à un autre club

Pourquoi le PAC a-t-il choisi de transférer Meziani à l’EST ?

Meziani a été officiellement transféré ç l’EST, le PAC a temporisé et a préféré l’option étrangère que de libérer le joueur au profit de la JSK qui avait pourtant insisté pour l’avoir cet hiver. L’attaquant algérien a signé et a posé avec le maillot sang et or du célèbre club tunisois, ceci dit il est resté à Tunis, alors que l’intégralité de l’effectif s’est rendu aux Emirats pour jouer la coupe du monde des clubs. Selon certaines indiscrétions, Meziani qui entamera son programme de travail va s’entrainer avec l’équipe réserve de l’EST, en attendant d’abord d’être présenté aux medias dans une conférence, car pour le moment, celle-ci n’a pas encore été programmée pour des raisons inconnues
L’EST lui a interdit de faire des déclarations

Une fois avoir signé, Meziani a reçu l’instruction de ne pas parler aux journalistes, même aux Tunisiens, on lui a fait comprendre qu’u point de presse spécial devrait être programmé mais sans le programmer, cela cache-t-il quelque chose ? possible, car d’après des échos, l’EST n’a pas vraiment l’intention de garder le paciste, ce qui étonne plus d’un, d’autant que le PAC en le transférant la bas, croyait bien faire, au point ou nous dit-on, a été laissé libre pour des miettes, la JSK aurait fait une meilleure offre, et aurait aussi offert un meilleur salaire que celui qui a été promis à Tayeb par les Espérantistes, autant de bonne raisons qui nous poussent a se demander pourquoi la direction de Zetchi a-t-il préféré la piste tunisienne qui ne présente aucune garantie.

Meziani, El Mellali…l’EST part à la chasse d’un nouveau Belaili

D’aucun pense que le choix est strictement lié aux relations entre la direction du club algérois et celle de la JSK, e ce qui concerne le transfert du duo Benyoucef-Benkhelifa, le PAC se serait donc vengé de la JSK aux dépends de l’avenir d’un de ses propres joueurs, tout en donnant une offrande et une garantie d’une relation durable avec l’EST, ces derniers rêvent de trouver un autre Belaili et ne pouvaient pas manquer cette occasion, idem pour la possible arrivée d’El Mellali en prêt d’Angers qi s’inscrirait dans cette chasse à l’oiseau rare, en tout cas l’affaire n’a pas révélé tous ses secrets, on y reviendra…

S.M.A

 

 

 

 

 

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